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 Lucy J. Halley {Admin}

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Lucy J. Halley
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Lucy J. Halley


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MessageSujet: Lucy J. Halley {Admin}   Lucy J. Halley {Admin} EmptyMar 13 Jan - 16:39


« LUCY JULY HALLEY .. *

Lucy J. Halley {Admin} Bannjb9


    I; Identité Générale ..

      Nom; Halley
      Prénom; Lucy, July
      Âge; 23 ans
      Nationalité; Américaine
      Profession/Etudes; Elle étudiait le droit à Harvard mais en vu des récents évènements, elle a préféré y mettre fin pendant un certains temps.
      Pouvoir; Son pouvoir est partculié. On pourrait dire que Lucy voit le passé, mais ce n'est pas tout à fait vrai. Elle a la capacité de faire des illusions en fonction du passé de quelqu’un . Elle ne le lit donc pas ses pensés à proprement parler, elle les interprète seulement en image. Ces images se créent autour de la personne et de la jeune femme et elles peuvent être très dangereuses. Ne contrôlant pas ce pouvoir à la perfection, la jeune femme est souvent ‘attaquée’ par ces illusions. Elle ne perçoit donc plus grand-chose de ce qui se passe autour d’elle et est comme immergée dans son monde. Il est vraiment très difficile de l’en sortir.
      Groupe désiré; Saviors

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Lucy J. Halley
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MessageSujet: Re: Lucy J. Halley {Admin}   Lucy J. Halley {Admin} EmptyMer 14 Jan - 18:11


    Chapter one ; why did she have to die ..

    Une jeune fille âgée d’une dizaine d’année était attelée à un grand piano noir. Il trônait, splendide et silencieux, depuis trop longtemps au milieu du salon sans qu’on y ait touché depuis .. Eh bien depuis six mois à présent, depuis qu’elle était morte. Elle y jouait tous les jours, se souvint la petite, tous les jours aux environs de six heures on entendait le son puissant résonner dans l’appartement qu’ils occupaient au dernier étage d’un immeuble luxueux qui surplombait la ville de toute sa grandeur. Elle se souvenait des éloges que faisaient les voisins à propos de son doigté léger et de sa manière d’harmonier les sons. Elle savait jouer tout ce qu’elle voulait, elle savait composer et chanter en même temps. Depuis son plus jeune âge, la petite Lucy voulait devenir une vraie musicienne. Mais son père avait tout fait pour que la jeune fille ne suive pas trop ces traces-là, il voulait qu’elle devienne avocate, ou bien financière, mais travailler dans la musique ? Pour lui ce n’était pas un véritable travail, juste un passe-temps. Pourtant la petite Lucy avait hérité du talent de sa mère, les notes semblaient couler seules de ses doigts, l’effort ne se lisait jamais sur son visage, simplement une concentration paisible. Mais Lucy ne s’était pas arrêtée au piano, elle s’était mise à pratiquer la guitare, le chant et dansait quatre fois par semaine. Beaucoup se demandait comment elle faisait pour combiner le tout en plus de l’école, mais elle y arrivait, elle travaillait dur et n’était jamais contente d’elle, mais elle y arrivait. La vie avait été paisible jusqu’au mois de juin précédant. Elle, sa mère et son père formait une belle famille, unie, paisible, une famille sans histoires et sans problèmes. Mais du jour au lendemain tout avait changé. Elizabeth Halley s’était réveillée avec d’étranges maux de têtes, deux jours plus tard le diagnostic tomba : tumeur au cerveau, inopérable, fatale. On lui avait promis un an, deux tout au plus, mais la maladie l’avait tuée à petit feu six mois durant avant d’avoir raison d’elle.

    Du jour au lendemain on lui avait pris sa mère, sa vie, sa famille. Du jour au lendemain elle n’avait plus été au centre de toute l’attention, elle essayait d’attirer l’attention de son père, elle essayait de lui rendre la vie plus douce, mais il ne la regardait pas, il ne lui parlait pas. Il préférait se murer dans un silence de pierre et sombrer dans l’alcoolisme petit à petit. Il n’était plus que l’ombre de lui-même, loin de ressembler à l’homme fier qu’il était avant. Le grand père de Lucy essayait de reprendre son fils en main, mais en vain. Il était comme devenu sourd, Alexandre Charles Halley semblait perdu dans un monde qui n’était accessible par personne d’autre que lui. Lucy n’avait que dix ans et déjà elle semblait avoir le poids du monde sur les épaules. Elle était celle qui donnait à présent les ordres à la maison, du haut de ses dix printemps elle savait comment gérer le personnel et comment les choses devaient être faites, du haut de ses dix printemps elle savait aller à l’école seule en taxi ou avec le chauffeur de son père et faire toutes sortes d’autres choses que les gens apprennent plutôt entre les quinze-vingt ans. Comme si on l’avait préparée toute sa vie à être indépendante. Comme si toute sa vie elle avait été préparée à être seule un jour. Elle était là, devant son piano, et elle se sentait seule. Elle n’en montrait rien pourtant. Au fil des années, la jeune fille s’était forgée cette carapace qui empêchait quiconque de deviner ce qui pouvait bien se passer dans son cœur et dans son esprit. Elle avait appris toutes les techniques pour paraître heureuse en toute circonstance, elle savait quelles réactions convenaient et lesquelles ne convenaient pas. Bien souvent on la regardait, elle savait converser longuement et comprenait facilement les choses de la vie. Elle fascinait, elle intriguait. Son éducation semblait parfaite. Durant les six derniers mois, elle avait accompagné son grand-père à plusieurs dîners importants et s’était montrée aussi discrète que possible. Il voulait qu’elle apprenne à bien se comporter en haute société, elle s’était retrouvée aux côtés du gouverneur et d’autres figures importantes du pays. Tous étaient fascinés, son grand-père le premier, elle parlait quand elle le devait, elle savait quand il fallait se taire, ses remarques étaient pertinentes et tous la trouvèrent délicieuses. Lucy avait toujours eu la conversation facile, elle savait facilement mettre les gens dans sa poche même si ce n’était pas son désir premier. Elle voulait plaire, c’était sûre et certains, mais elle ne semblait pas non plus mal à l’aise avec des gens de l’âge de ses grands parents et de ses parents, elle semblait même réussir à se fondre dans le décor tout en réussissant à attirer l’attention. On s’étonnait de son âge, on s’étonnait de sa personnalité. Mais si elle semblait si parfaite à l’extérieur, c’était parce qu’elle tenait à garder le mal qui la rongeait secret aux yeux de tous. Elle souffrait énormément de la mort de sa mère, des problèmes de son père. Elle souffrait des accès de violence qu’il avait et de ce fossé qui chaque jour se creusait un peu plus.

    Aujourd’hui ce n’était pas différent. Lucy tremblait de peur alors qu’elle s’asseyait sur le petit tabouret pourpre qui se trouvait près du piano. Elle ne voulait pas réveiller son père qui dormait dans sa chambre, du moins c’était ce qu’il avait grogné quand il avait quitté le canapé, une bouteille de whisky à la main. Elle redoutait un accès de colère, encore des coups. Son père frappait rarement le visage de sa fille, il préférait le corps, les parties qui se cachaient sous les vêtements, comme si même dans sa folie il gardait assez de bon sens pour que cela ne se voit pas. Lucy ne pleurait pas quand il la frappait, elle ne criait pas non plus. On pourrait presque dire qu’elle se laissait faire, comme si elle espérait qu’ainsi son père pourrait sortir toute cette colère et toute cette rancœur qu’il gardait en lui. Mais elle criait en son intérieur, elle souffrait dans son cœur. Et cette souffrance physique remplaçait pour quelques instants cette douleur qui la consumait de l’intérieur, une alternative à laquelle elle ne disait pas non car elle semblait moins douloureuse que l’autre douleur. Doucement, les doigts de la petite fille se posèrent sur les touches noires et blanches de l’instrument. Une douce mélodie en sortit, une mélodie composée par la mère de Lucy quelques temps avant qu’elle ne meurt. Elle essayait de jouer doucement, mais ses doigts n’écoutaient pas sa tête, très vite la musique s’empara de tout son être, de tout son corps. Elle ne pensa plus à son père, elle ne pensa plus à sa mère, elle ne pensa plus à cette douleur et à tout ce qui faisait qu’elle n’allait pas bien. Elle n’entendit pas la porte claquer, ou plutôt si mais cela semblait irréel, bien trop lointain, elle n’entendit pas les pas qui approchaient et qui présageaient de mauvaises choses. Tout d’un coup une statue tomba, elle brisa la mélodie qui s’arrêta d’un coup. Lucy se retourna vers l’encadrement de la porte, son père y était affalé, un regard mauvais sur le visage. Il tenait toujours sa bouteille en main, mais très vite elle rejoignit la statue sur le sol et se brisa. La petite fille ferma les yeux et descendit du tabouret. Son père marcha jusqu’à elle et l’empoigna au col de sa robe avant de la plaquer sur le mur.

      « - Je t’ai interdit de jouer ce morceau ! Je t’ai interdit de jouer quoique ce soit ! Tu n’es qu’une sale gamine, une merdeuse qui ne pense qu’à elle ! »


    Une gifle d’une violence inouïe vint s’attaquer à la joue de la petite fille. Très vite son père réattaqua avec un coup de poing dans l’abdomen de Lucy. Elle ne dit rien, ne versa pas une larme, préférant fermer ses yeux plutôt que de voir les effets de l’alcool sur son père si aimant autrefois. Il finit par la lâcher, elle s’effondra sur le sol, le regard planté sur les motifs qui ornaient le tapis. Elle ne se relèverait pas avant qu’il n’ait quitté la pièce. C’était toujours ainsi, il l’abandonnait sur le sol puis reprenait une autre bouteille avant de s’affaler sur le canapé ou de s’enfermer dans sa chambre à coucher.

    Les choses restèrent ainsi cinq ans durant. Quand Lucy atteint l’âge de quinze ans, son grand-père mourut, laissant la direction de la FB13 et des entreprises à Alexandre. Le père de la demoiselle se sortit de l’alcool grâce à une cure, après cela il ne prêta guère plus attention à sa fille, en apparence du moins. Car de loin il la surveillait, engageant des gens qui la suivaient et notaient chacun de ses pas. Alexandre ne lui parlait que de quelques choses : son métier, le comportement de sa fille qu’il jugeait trop désinvolte et Tyler, surtout Tyler. La jeune fille savait qu’il rêvait de voir un mariage entre Lucy et le jeune homme, mais hélas elle ne pouvait pas le supporter. Les années passaient, Lucy essayait d’attirer l’attention sur elle, et elle réussissait plutôt bien, sauf dans le cas de son père. Elle jouait toujours du piano, quand Alexandre n’était pas là, elle dansait merveilleusement bien, et pourtant elle n’était pas heureuse ..


    Chapter two ; i believe in something we call love ..

    La vie vous réserve bien souvent des surprises, des bonnes, des mauvaises, des étranges. Le jour où Lucy est entrée à Harvard, une bonne chose lui est tombée dessus. Elle bouscula un jeune homme ce jour là, un grand brun aux yeux foncés, le genre d’homme qu’on ne voit que sur les couvertures de magazines de modes. Mais celui là était bien réel et il la dévorait des yeux. Elle s’excusa, du moins elle essaya. Son cœur semblait comme frapper par quelque chose qu’elle ne connaissait pas. Lucy n’était jamais tombée amoureuse, on tombait amoureux d’elle tout le temps par contre. La demoiselle sortait avec les garçons de son lycée, puis les laissait tomber au bout d’un mois ou deux au maximum. Elle ne voulait pas s’attacher, ne surtout pas souffrir. Elle aimait garder cette position de femme fatale plutôt que d’avoir celle d’adolescente jetée par son mec du moment. Mais cette fois, elle sentait que c’était différent. Il s’appelait Lucas, avait un an en plus qu’elle. Il était entré à la fac l’année précédente et comptait étudier longtemps. C’était un passionné de photographie, mais il préférait faire le droit afin de rendre son père heureux. Lucy eut un coup au cœur quand il prononça cette phrase, elle était comme lui sur tellement de point, c’était un peu effrayant. Il venait d’un milieu modeste, mais ses bonnes notes lui avaient valu une bourse qui lui permettait de faire ses quatre années de fac à Harvard. Le cœur de la jeune femme battait à une vitesse folle, elle buvait ses paroles, semblait muette. Jamais elle n’avait été ainsi avec quiconque, elle sentait qu’il était différent, qu’il était quelqu’un, une vraie personne, pas une pâle copie d’une autre comme elle en avait tellement rencontrée. Il y eut un dîner, puis un autre, puis un autre. Un an plus tard, il sortait officiellement ensemble. Ils étaient le couple parfait, celui que tous leurs amis enviaient. Lucy était plus heureuse que jamais, elle irradiait, son visage rayonnait. Cependant elle n’en parla pas à son père et elle ne parla pas à Lucas de son père non plus. Le jeune homme comprit rapidement que la famille de Lucy était une sorte de sujet tabou, aussi n’insistait-il pas. Ils se disputaient rarement, et jamais pendant longtemps. Ils s’aimaient trop et préféraient avouer une faute qui n’était pas la leur plutôt que de rester en conflit avec l’autre. Lucas comme Lucy n’étaient comme ça avec personne d’autre, tous les deux étaient assez orgueilleux et assez têtus. Mais quand l’autre était là, ils étaient .. Différents.

    Seulement tout ne peut pas être rose tout le temps. Ils s’étaient disputés violemment. Lucas avait disparu, il ne donnait plus de signe de vie, Lucy alla le voir et il lui annonça qu’il l’avait trompé. La jeune femme s’en alla, claquant la porte, les yeux pleins de larmes. Elle ne voulait plus le voir, plus l’entendre. Elle était détruite, tout s’effondrait autour d’elle. La jeune femme marchait au hasard dans les rues quand elle entra dans un bar qui ne lui semblait pas trop miteux. Détruite peut-être, mais digne quand même. Seulement si quelqu’un qui la connaissait l’avait croisée à ce moment là, jamais il ne l’aurait reconnue. Son visage était déformé par la douleur, par les larmes. Elle ne pleurait pas souvent, très très rarement même. Mais elle avait fait des plans avec Lucas, elle avait toujours trouvé cela idiot à dire mais il semblait être l’homme de sa vie, celui pour lequel elle était prête à faire des concessions. Et il avait été voir ailleurs .. Il n’avait aucune raison à lui donner, juste ses mauvais penchants naturels qui refaisaient surface. Il s’était excusé, mais la douleur était là, bien vivante, elle lui déchirait le cœur en deux. Mais Lucy allait se ressaisir, une tournée de cocktails et elle serait repartie. Vraiment ?



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MessageSujet: Re: Lucy J. Halley {Admin}   Lucy J. Halley {Admin} EmptyMer 14 Jan - 19:45

    Chapter three ; Mistakes can happen ..


    Elle ouvrit la porte du bar doucement. Il y avait du monde, mais pas trop. Elle marcha tout droit vers le bar, déposa deux billets de cent dollars sur le comptoir et sourit au barman. Ce genre de chose voulait dire qu’elle voulait boire à volonté et jusqu’à plus soif, qu’elle lui donnait cet argent pour être sûre qu’il soit payé. A côté d’elle se trouvait un jeune homme qui semblait déjà bien entamé. Elle le regarda deux secondes puis prit son verre qu’elle sirota. Un autre vint se déposer devant ses yeux dix minutes plus tard. Elle demanda ensuite de la tequila, elle ne voulait plus se souvenir de cette soirée le lendemain quand elle devrait se réveiller. L’alcool fit rapidement de l’effet, elle était rarement malade, avait rarement mal à la tête. Très vite elle se mit à converser avec les gens se trouvant dans le bar, puis elle se mit à parler avec son voisin. Il semblait aussi abattu qu’elle. Son regard triste déchira le cœur de Lucy mais elle ne détourna pas les yeux.

      « - A votre santé bel inconnu .. A tous les cœurs brisés et à toutes les conneries de ce monde ! »


    Saoule ? Juste un peu. On la regardait, on riait d’elle et avec elle. A dire vrai au point où elle en était, plus rien ne comptait. Elle voulait juste s’amuser, oublier ce qui s’était passé quelques heures plus tôt. On mit de la musique dans le bar, Lucy invita le jeune homme qui accepta. Ils lancèrent la machine, très vite d’autres personnes vinrent danser avec eux. Minuit. La soirée filait sans même que la jeune femme ne s’en rende compte. Elle avait les yeux plongés dans ceux de son cavalier. La soirée se termina par un slow, puis les deux jeunes gens sortirent. Lucy riait pour tout et pour rien. Elle parlait fort. Un taxi passa par là, elle l’appela puis, sans qu’elle ne s’en rende compte, elle était entrain d’embrasser le jeune inconnu. Ils avaient parlé un peu, mais pas tellement. Aucun des deux ne semblaient vouloir parler. Les évènements s’enchainèrent sans que Lucy ne puisse faire quoique ce soit.

    Le lendemain, elle se réveilla, nue, et loin d’être seule. Un mal de crâne la frappa à l’instant où elle ouvrit les yeux, elle avait du réellement abusé. La brunette regarda à sa gauche, elle ne remit pas le jeune homme tout de suite. Puis les évènements défilèrent dans sa tête comme un film. La dispute avec Lucas, le bar, l’inconnu. Le visage de la demoiselle blêmit. Son cœur s’arrêta presque de battre. Qu’avait-elle fait ? Elle paniqua, se leva d’un bond tout en prenant bien soin de bien s’enrouler dans le drap. Son cœur se serra un peu plus, elle voulait s’enfuir, partir en courant. Mais il se leva. Il semblait aussi gêné qu’elle, tout comme elle il ne semblait pas habituer à ce genre de situation ce qui soulagea un peu Lucy, mais juste un peu.

      « - Heu .. Ecoute je suis vraiment désolée pour ce qui c’est passé hier .. Je te jure c’est pas dans mes habitudes de sauter sur le premier venu, j’étais dans une mauvaise passe je .. »


    Le stress la faisait parler, elle disait des conneries, disait tout ce qui lui passait par la tête. Lucy s’empourpra en le remarquant.

      « - Il vaudrait mieux que j’y aille .. »


    Etrangement, Lucy ne voulait pas qu’il parte. Elle voulait qu’il reste encore un peu, ne surtout pas rester seule. Elle désirait un peu de compagnie, mais était-ce sain ? Non. Sûrement pas.

      « - Je .. Oui .. Tu as sûrement raison. »


    Il repartit dans la chambre à coucher se rhabiller puis se dirigea vers la porte. Lucy en avait profité pour enfilé un peignoir. Elle le suivit, non vraiment elle ne pouvait pas le laisser partir sans oh moins connaître son nom.

      « - Je .. Je peux savoir comment tu t’appels ?
      - Zayne Spencer.
      - Merci .. »


    Merci ? Quelle idiote. Mais pouvoir mettre un nom sur un visage, c’était plus réconfortant que de savoir qu’on avait passé la nuit avec un gars dont on ne connaissait même pas le nom.

      « - Et toi ? »


    Lucy sursauta. Elle ne s’était pas attendue à ce qu’il soit encore là.

      « - Lucy. »


    Elle ne lui donna pas son nom de famille. Elle savait que c’était un nom qui était craint autant que respecté et elle ne voulait pas voir Zayne prendre ses jambes à son coup. La demoiselle esquissa un faible sourire avant de le voir partir, puis s’effondra, pleurant toutes les larmes de son corps ..


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